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Loop the loop
Fabrice Alleman Quartet
Tracks :
1. Loop the loop (F. Alleman)
2. Sonny (Bob Mintzer)
3. Just like yesterdays (F. Alleman)
4. Bye bye blackbird (Ray Henderson)
5. Crystal bells (Charlie Mariano)
6. Blues 8 (F. Alleman)
7. What's love ? (F. Alleman)
8. Why not now ? (F. Alleman)
Musicians :
Fabrice Allleman - tenor & soprano saxophone, all arrangements
Michel Herr - piano
Jean-Louis Rassinfosse - double bass
Frédéric Jacquemin - drums
Recorded in 1997 in Brussels (Igloo studio) and live at the "Jazz à Liège" festival in 1997, released in January 1998. CD (Igloo IGL 136).
Available via the Igloo website.
This CD includes a few tracks recorded live (# 2, 4, 5) during the quartet's acclaimed performance at the Liège Festival 1997 and some additional ones, recorded in the studio.
In the Belgian jazz referendum organized by Belgian radios RTBF and VRT, the album was elected by the listeners as the Belgian jazz record of the year '98.
Ce CD contient quelques plages enregistrées live (2, 4, 5) lors du Festival Jazz à Liège 1997; les autres ont été enregistrées en studio.
Dans le referendum des radios belges RTBF et VRT, cet album a été élu par les auditeurs meilleur album de l'année 1998.
See also the photo galleries of the Fabrice Alleman Quartet.
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La presse
...une oeuvre à ce point intense et généreuse, aussi chargée d'émotion que le Titanic après sa collision avec l'iceberg, personne n'aurait pu l'imaginer. Merveilleusement soutenu et structuré par Michel Herr au piano et par une rythmique impeccable, Fabrice Alleman prolonge les climats du jazz post bop, évoquant ici et là, et selon l'instrument utilisé, les guirlandes de notes d'un soprano coltranien ou l'ivresse d'un ténor rollinsien. Et au-delà des références, Alleman fait bien plus qu'interpréter des classiques comme Bye Bye Blackbird ou Crystal Bells, il les habite d'une étrange ferveur. Dans ses improvisations, plus encore en public qu'en studio, son imagination fait des bonds de géant, pouvant même aller jusqu'à l'insurrection sonore qu'il maîtrise quand et comme il veut grâce à une technique irréprochable acquise au cours de formations complètes aussi bien en musique classique qu'en jazz. Quant à ses propres compositions, de l'étonnant Blues 8 à la très belle ballade Just Like Yesterdays, elles tiennent la route sans funambuler au milieu des classiques. A l'heure où les géants disparaissent les uns après les autres, il est normal que l'on se plonge avec plus d'espoir et de délices dans l'écume des figures de proue qui surgissent : si ce n'est déjà fait, allez vite croiser la route de celle-ci. Pierre Dulieu, site Dragon Jazz
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